Parler de vieillesse et de mort semble toujours plus toucher au tabou. Pourtant il faut bien envisager sa période de 3ème voire 4ème âge et mettre en place quelques mesures pour pouvoir en profiter au maximum.
Parmi les choses importantes à régler, il y a celle de son logement et, si on a la chance d’être propriétaire, du devenir de ce bien immobilier. Dans ce domaine, en profiter de son vivant bénéficie également à vos enfants.
En effet, le fait de valoriser son patrimoine avec intelligence sert non seulement aux ainés qui méritent une retraite digne mais aussi à leurs descendants qui verront la charge financière pour la prise en charge de leurs parents diminuer.
Un système quelque peu oublié ou laissé de côté pourrait bien faire son grand retour : la vente en viager.
Comment ça marche ?
Le principe général est connu de tous. Il s’agit de vendre son objet immobilier de son vivant à un acheteur qui en prendra possession à la mort du propriétaire.
Il y a toutefois de nombreuses possibilités d’aménager un viager.
Viager occupé ou viager libre
On distingue tout d’abord ces deux types de vente en viager. Avec le viager occupé, les propriétaires continuent à vivre dans le bien qu’ils ont vendu alors qu’un viager libre permet aux acheteurs d’occuper immédiatement leur nouveau logement.
Le choix entre ces deux types de vente a évidemment un impact sur le prix de l’objet immobilier puisque si l’usage de l’objet est immédiat, son prix sera plus élevé.
Bouquet et rente
Le prix d’un achat en viager se décompose en deux parties, le bouquet et la rente.
Le bouquet constitue le montant qui est versé au moment de la signature de l’acte de vente du bien immobilier. La rente viagère quant à elle se paie en général mensuellement.
Le calcul de ces deux éléments se base sur la valeur de l’objet immobilier, le type de viager ainsi que sur l’âge des propriétaires.
Vendre en viager constitue un avantage non seulement pour le vendeur qui dispose d’argent frais et économise également des charges d’immeuble et d’impôts mais également pour l’acheteur qui, au-delà du pari pris sur la durée de paiement de la rente, a moins d’argent à dépenser au départ de l’achat et peut ainsi espérer se passer d’un prêt hypothécaire.
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